PARTIE :08

Ecrit par Malachie officiel

PARTIE 8

MA NUIT DE NOCE

Mon émotion était immense mes

amis, et c'est la raison pour laquelle

mes larmes ne cessaient de couler.

Au fait, si il s'embrassait avec une

autre demoiselle, j'allais justement

tolérer ; mais qu'il le fasse avec

Olga, cela m'a fendu le coeur.

—Constant:« Qu'est-ce qui ne va pas

mon amour ? Pourquoi pleures-tu ma

princesse ? »

—Moi:« (Pleures) »

Je ne disais rien, je ne faisais que

faire tomber les larmes comme une

madeleine.

Bon bah, comme désormais tout mon

regard était fixé sur Serge et sa

maîtresse, Constant a aussi

finalement essayé de tourner son

regard vers cette même direction. Et

il fut vraiment touché dès qu'il a vu

ce que son ex-épouse était en train

de faire.

—Constant:« Arrête de pleurer ma

princesse ! Okay ? »

—Moi:« .... »

Je n'ai rien dit, et donc j'ai juste

hoché la tête pour dire oui. Soudain,

Olga et Serge sont venus passer

devant nous et ils ne sont pas

inquiétés de continuer à se câliner

avant de sortir. Puis après leur

départ, Constant m'a demandé :

—Lui:« Tu connais ce jeune homme ?

»

—Moi :« Hummm... »

—Constant:« C'est qui ?»

—Moi (en pleurant):« Mon ex-

copain... Serge. »

—Lui:« Et c'est ce qui te fait pleurer ?

Tu l'aime toujours ?»

—Moi:« Pas tellement mais... »

—Lui:« Mais quoi ?»

—Moi:« Mais ça m'a tellement fait

mal, ça m'a brisé le coeur de le voir

juste quelques semaines après notre

rupture s'embrasser avec ma

meilleure amie. »

—Lui:« Qui est ta meilleure amie ?

Olga ?»

—Moi:« Humm »

—Lui:« (Sourire) »

Il a juste souri, puis après il m'a dit:

—Lui:« Olga c'est une sorcière, et je

pense que maintenant, tu viens de

découvrir ce qu'elle est exactement.

Cette fille que j'adorais tant jadis,

m'avait un jour appris qu'il ne faut

jamais te marier par compétition. »

Soudain je me suis ressaisi avant de

cesser de pleurer. Puis Constant a

continué avec son récit en disant:

—Lui:« Tout a commencé quand on

était encore adolescents. À ce

temps-là, mon père n'était pas

encore le président du conseil

d'administration de l'entreprise

pétrolière, mais hormis cela, on avait

une vie aisé. On habitait dans une

modeste maison à Gombe, l'un des

quartiers le plus luxueux de

Kinshasa. Et à cette époque-là, Olga

était considérée comme la fille la

plus belle de mon quartier, et que

tous les gars du quartier voulaient

sortir avec elle. Et donc nous

sommes allés en compétition et ce

fut extrêmement difficile pour moi de

s'approcher d'elle. Après plusieurs

tentatives qui se sont soldées par

l'échec, j'avais décidé d'abandonner.

Quelques mois plus tard, mon père

eut la promotion au travail, et donc il

fut nommé PCA de l'entreprise

pétrolière. Par conséquent nous

avons déménagé, donc nous avons

quitté notre minable maison pour

aller occuper maintenant l'immeuble

le plus beau de notre quartier. Et

dorénavant, toutes les filles de notre

quartier avaient commencé à

s'intéresser à moi, et Olga aussi.

Alors comme j'étais fou amoureux

d'elle, nous nous sommes aimés

puis nous nous sommes épousés

quelques années après.

Et depuis notre fameux mariage,

plusieurs années se sont écoulées

sans qu'on ait un enfant... »

Soudain il s'est arrêté avant de

prendre sa mouchoir et essuyer les

larmes qui coulaient déjà petit à petit

sur ses magnifiques joues.

—Moi:« Ne pleure pas bébé! Continue

mon roi !!!»

Il s'est ressaisi et s'est tu, avant de

continuer avec l'histoire:

—Constant:« Bon... Nous avons fait

quelques années sans pourtant avoir

des enfants, et je n'en avais pas fait

un problème parce que je savais que

c'est Dieu qui donne les enfants, et

quand notre temps viendra, il nous

donnera des enfants. Mais

malheureusement mon ex-épouse,

Olga n'avait pas pu patienté, elle

s'est précipitée en tombant enceinte

de mon chauffeur, et c'était vraiment

déplorable. »

—Moi:« Donc l'enfant qu'elle détient

n'est pas la vôtre ? »

—Lui:« Exactement... Sauf une fois

qu'elle est tombé enceinte, j'ai cru

que la grossesse m'appartenait

jusqu'à ce que ma petite sœur

Nathalie lui a surpris en fragrant délit

d'adultère avec mon chauffeur. »

—Moi:« Oh chéri! Je suis désolée. Ça

fait mal ! Olga est une vraie sorcière.

»

—Constant:« Hummm... »

Tout à coup nous avons commencé

à manger dans un silence total, puis

à la fin, nous avons payé la facture

avant de sortir.

Une fois dehors, nous sommes

montés dans la voiture avant de nous

diriger à maison. Tout au long du

chemin, personne n'a parlé jusqu'à

ce que quelques minutes après, on

est arrivé devant notre portail.

Bon bah, une voiture en couleur

mauve était devant notre portail, et

elle allait partir mais dès qu'elle

nous a vu, elle s'est rapprochée de la

nôtre. Soudain l'homme avait baissé

sa vitre et Constant également. Puis

tout d'un coup, Constant fut surpris

de le voir...

—Constant:« Tu es vivant toi ? Mon

frère mon frère »

—L'homme:« Tu ne te laisses plus

voir mon frère. Tu t'es remarié mais

tu n'as pas invité ton frère ?! »

—Constant:« Ohh Fiston arrête tes

conneries. Toi même tu sais que

j'étais embrouillé, et donc mon ami,

les choses se sont fait dans une

vitesse incroyable. »

—Fiston:« Hummm... C'est elle la

fameuse demoiselle que ton père

décrivait. »

—Constant :« C'est bien elle. »

Du coup Fiston m'a demandé :

—Fiston:« Ça va ? »

—Moi :« Tranquille et toi ? »

—Fiston:« Tranquille tranquille. »

—Constant:« Elle est où Vanessa ? »

—Fiston :« Elle est là wesh »

Du coup une meuf s'est redressée,

elle avait attaché ses cheveux et ça

faisait une touffe. Elle était grave

mignonne mais j'arrivais pas à

déchiffrer ses origines ; elle était de

l'Est je pense.

—Vanessa :« Imbécile genre tu ne

m'as pas vu ? »

—Constant (en souriant):« Toujours

aussi sauvage. »

—Fiston :« Toujours, j'en ai marre

d'elle. »

—Constant:« Non arrête, Vanessa est

la plus gentille hein ! »

—Vanessa :« Tshiiip dégage d'ici

même. »

—Constant:« Tu ne dis pas bonjour à

ma femme ? »

—Elle :« Euh je m'excuse... Ça va ? »

—Moi :« Ça va et toi ? »

—Elle :« Tranquille hein. »

Du coup nous sommes descendus et

puis Constant est parti

immédiatement ouvrir le portail. Je

suis allée faire la bise à Vanessa

avant d'également faire la bise à

Fiston. Puis apres, nous sommes

rentrés dans la maison et

directement Fiston et Constant

étaient allés s'asseoir au salon. J'ai

pris Vanessa pour qu'on aille dans la

cuisine. Franchement je la trouvais

belle et surtout mignonne.

—Vanessa :« Ça va sinon ? »

—Moi :« Ça va hein, et toi ? »

—Elle :« Ça va. Tu es de quel

origine ?»

—Moi:« Je suis de la région du

centre, et donc je suis kasaïenne et

toi, tu es de l'Est ? »

—Vanessa:« Absolument je suis de

l'Est, et principalement de Bukavu. »

—Moi : Ah d'accord. Tu es très

belle... »

—Elle:« Merci... »

—Moi :« Vous voulez mangé quoi ?»

—Elle :« Rien, ne te casse pas la tête.

»

—Moi :« Tu es sûr ? »

—Vanessa :« Ouais ne t'inquiète. »

Bon bah finalement on s'est mise à

parler. De vue, je savais déjà qu'elle

allait devenir mon amie. Elle m'a

raconté sa rencontre avec Fiston, son

histoire me faisait trop rêver et

c'était exceptionnel mes amis.

Donc nous avons parlé jusqu'à ce

que les gars sont venus nous

rejoindre dans la cuisine. Fiston et

Vanessa sont restés encore quelques

minutes avant de partir. Avec

Vanessa on s'est échangé nos

numéros avant qu'ils partent. Ils

étaient à peine partis quand mon très

cher mari s'est mis à me faire des

bisous. Puis après, je suis montée en

vitesse dans notre chambre en lui

laissant seul dans la cuisine.

Soudain j'ai pris ma douche et je

suis mise en robe, et donc j'avais

utilisé une chemise de mon mari

pour en faire une robe. Constant m'a

rejoint quelques minutes après, et

honnêtement il m'a fait

incroyablement l'amour, et c'était

génial mes amis.

Quelques jours plus tard, je me

sentais tellement mal et c'était

probablement à cause de la

grossesse. Mon bas ventre me faisait

énormément mal et donc je me suis

assise sur le sol et j'avais

commencé à pleurer. Constant m'a

rejoint tout paniqué le pauvre, et puis

il s'est accroupi en face de moi.

—Constant:« Il ya quoi princesse ?

Pourquoi tu pleures ? »

—Moi :« J'ai peur »

—Lui :« Peur de quoi ? »

—Moi :« De mourir »

Je ne sais même pas pourquoi

j'avais dit ça, et donc c'était la peur

qui parlait...

—Constant:« Tu es folle ? Ne dis pas

ça, tu ne vas pas mourir. »

—Moi :« Je viens de vomir de l'eau et

je vois flou. »

—Lui :« Arrête de pleurer et prépare

toi on va à l'hôpital. »

—Moi :« J'ai froid. »

Du coup il m'a porté avant de me

ramener dans la chambre et m'aider

à m'habiller. Il m'a changé pour

m'habiller d'un jogging et d'un pull à

lui. Rien qu'à sa tête, je voyais qu'il

n'était pas bien...

—Constant :« Tu es en train de me

faire paniqué hein. Je perds patience

tellement j'ai peur qu'il t'arrive un

truc grave. »

Soudain il a pris sa clé de voiture

puis il m'a porté jusqu'à sa voiture.

Il a porté des babouches rapidement

et puis on est parti en direction de

l'hôpital. Pendant tout le trajet

Constant ne faisait que de me parler

parce que je commençais à

m'endormir inconsciemment. Dès

qu'on est arrivé à l'hôpital, j'ai été

prise en charge directement. On m'a

hospitalisé et j'étais toute seule

pendant que mon mari attendait dans

la salle d'attente. J'ai eu droit à une

prise de sang et à une piqûre.

Bon bah, j'ai passé ma nuit à

l'hôpital sans mon mari. Et en me

réveillant le matin du jour suivant,

j'étais toujours toute seule et

quelques minutes plus tard Constant

est apparu dans ma chambre avec

les yeux tout rouges. Il était cerné et

le voir comme ça m'avait donné

envie de pleurer.

—Moi :« Bébé »

—Constant :« Putain Joyce, ne refait

plus des trucs comme ça. J'ai eu

peur. »

—Moi :« Désolée »

—Constant:« Je n'ai même pas dormi

toute la nuit, je cogitais comme un

fou dehors dans la voiture. »

—Moi :« Je suis désolée mon amour.

»

—Lui :« Alors tu as quoi ? »

—Moi : « Je ne sais même pas. »

—Lui :« Inch'allah c'est rien de grave.

»

—Moi :« Hummm... »

Tout a coup, il est allé appeler une

infirmière, elle était toute souriante.

—L'infirmière :« Bonjour madame. »

—Moi :« Bonjour »

—L'infirmière :« Bien dormi ? »

—Moi :« Oui ça va »

—L'infirmière :« Alors hier nous

avons effectué une prise de sang

avant de vous injectez de la

morphine. »

—Moi :« Je suis malade ? »

—L'infirmière (en souriant) :« Ne

soyez pas stressée, ce n'est rien de

grave. »

—Constant :« Elle a quoi alors ? »

—L'infirmière :« C'est votre époux ? »

—Moi :« Oui »

—L'infirmière :« D'accord. Alors

madame souffre de rien de grave,

son corps était juste fatiguée... »

—Constant (en s'écriant):« Joyce !! je

vais te tuer. Tu m'as fait peur parce

que tu étais fatiguée ? Tu ne sais

pas te reposer ? Putain j'ai fallu faire

une crise cardiaque dans ma voiture

parce que ma femme était fatiguée. »

Du coup je me suis mise à rigoler

comme une conne, qu'est-ce qui lui

prenait ? Même l'infirmière a rigolé. Il

avait coupé l'infirmière pour me

"menacer"

—L'infirmière :« Je n'ai même pas fini

de parler que vous prévoyez de la

tuer. Si vous la tuez vous tuez votre

enfant avec »

—Moi (en faisant semblant) :«

Enfant ?»

—Constant:« Hein ? »

—L'infirmière :« Oui oui, votre femme

est enceinte, et il faudrait prendre

rendez-vous avec le gynécologue

pour avoir plus d'infos. »

—Moi :« Je suis enceinte ? »

—Constant :« Je peux lire la feuille

qui le prouve s'il vous plaît !»

—L'infirmière :« Oui bien sûr. »

L'infirmière lui a donc donné la

feuille ou y avait mes résultats et ce

con lisait avec les sourcils froncés

jusqu'à ce qu'un sourire s'est

dessiné sur son visage. À la fin de

sa lecture il m'a regardé puis s'est

mis à sourire.

—Constant :« Je vais être papa !! »

—Moi (en souriant):« Sérieux ? »

—Lui (en souriant) :« C'est bon, je ne

te tue plus. Accouche d'abord de

mon enfant et après on en reparlera.

»

—L'infirmière :« Toutes mes

félicitations. »

—Nous:« merci »

—L'infirmière (en souriant) :« On va

vous libérez aujourd'hui et il faudrait

que vous preniez rendez-vous au

plutôt avec un gynécologue pour

savoir de combien de semaines vous

êtes enceinte et d'autres infos. »

—Moi :« D'accord merci beaucoup. »

—L'infirmière :« Hummm... Je vous

laisse. »

Elle est sortie de la chambre et

immédiatement Constant s'est mis à

danser. J'étais morte de rire, c'était

quoi ce con qui dansait devant moi ?

Il avait un de ses sourires dont je

m'en rappellerais toute ma vie.

Qu'est-ce que je l'aime mon mari...

À SUIVRE...

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MR CLEVER'S ????

MA NUIT DE NOCE