Amoureux pour de vrai

Write by TANOUVI

Marc

-          Mmmmmh ! Gemit elle lorsque je me faufile une énième fois entre ses cuisses.

Il est 3h38 exactement. Nous avons fais l’amour 3 fois. La dernière fois c’était il ya 2heures. Elle s’est ensuite endormie et jai egalement somnolé puis je me suis reveillé et la vue de son corps nu tout pres du mien ma encore fait bandé. Je la connais. Je sais qu’à 4heures elle voudra rentrer chez elle sauf si elle est trop fatiguée pour le faire. Alors j’ai décidé de trop la fatiguer. Elle est couchée sur le ventre. Ses fesses rebondies exposées à ma vue. Au contact de cette chair douce et ferme contre mes cuisses, je gemis de plaisir et minsere en elle d’une seule poussée.

-          Marc, gemit elle. C’est la 4eme fois. Se plaint elle.

-          Je vais y aller doucement. Je te promets.

Pour confirmer mes dires, je bouge doucement les hanches en l’embrassant dans le cou. Elle gemit de plaisir cette fois et remue également des hanches pour accompagner mon mouvement. Oh la vache ! C’est trop bon.

-          Si tu veux que j’y aille doucement, il va falloir que tu arrêtes ce que tu fais. Je ne vais pas pouvoir me contrôler si tu continues.

Elle ignore et bouge de plus belle. Je ne sais pas ce qui se passe avec elle. Peu importe combien de fois ou comment  je lui fais l’amour, je n’en ai jamais assez. J’en veux toujours et à chaque fois le plaisir est si intense qu’il me surprend. Peu à peu je me déchaîne sans pouvoir me retenir davantage. Je la penetre comme si je voulais me fondre en elle.

-          Je vais jouir. Me crie t elle.

-          Vas y mon cœur, jouis pour moi. Lui dis je.

Ses gémissements emplissent la pièce.

-          Oh merde ! Je suis complètement fou de toi ma puce.

Les choses à ne pas dire mais à cet instant je suis réellement entrain de perdre la tête. Je l’aime je l’aime je l’aime. Je prie pour qu’elle soit aussi emportée que moi pour ne pas se souvenir plus tard de ce que j’ai dis. Quelques secondes plus tard, je sens son sexe se contracter violemment autour de mon penis pendant quelle jouis. Je sens l’orgasme pointé le bout de son nez de mon coté aussi. Il me fauche si violemment que mes yeux se revulsent. Je jouis avec toute l’intensité de mon amour pour elle. La respiration hachée, je me dégage pour arrêter de peser sur elle de tout mon poids. Elle garde la même position et sa respiration régulière me prouve qu’elle s’est rendormie aussitot. Cette fois, cest sûr elle est epuisée. Je programme mon reveil pour 6h et me couche en me collant a elle. J’aimerais tellement passer toutes mes nuits ainsi désormais. Nous sommes samedi aujourd’hui et je ne pense pas que ca posera problème si elle ne va pas travailler. J’ai déjà un programme tout tracé pour la journée avec elle. Pourvu que j’arrive à la convaincre dy adherer.

A 6h je suis debout. J’hésite entre prendre une douche et descendre préparer le petit déjeuner. Si je vais dans la salle de bain il ya de fortes chances que je la réveille. Je me brosse juste les dents et me lave le visage avant de descendre pour me mettre aux fourneaux. Je veux que la journée soit parfaite. Le petit déjeuner sera déterminant. Je met de l’eau à chauffer, puis je fais sortir des œufs que je bats en y ajoutant du jambon et du fromage. Je fais une grosse omelette. Je fais ensuite revenir des champignons dans un peu de beurre. J’avais une pâte à crêpes au frigo. Je fais frire quelques crêpes et après hésitation je passe des saucisses au air fryer. Je rechauffe des croissants et du pain au four. Je ne sais pas ce qu’elle aime, je fais du tout donc. Je fais du jus d’ananas et du jus d’orange que je verse dans des carafes, je met l’eau chaude dans une gourde thermos. Quand tout est prêt, je dresse la table et remonte pour prendre une douche. Elle est toujours endormie. La voir ainsi couchée, vulnérable et abandonnée, m’attendrie tellement que je dois résister à l’envie d’aller l’embrasser. Quand je sors de la douche. Je la trouve éveillée et un peu pensive.

-          Bonjour la Marmotte. Lui dis je. En me dirigeant vers mon dressing pour m’habiller.

Je ne sais pas a quoi mattendre avec elle ce matin. Jai eu envie de m’approcher pour l’embrasser mais j’ai deviné quelle allait me repousser.

-          Bonjour. Répond t elle avec un sourire timide.

-          J’ai finis. Tu peux y aller pour ta douche. Je t’ai laissé une brosse à dent neuve et un filet de bain neuf dans la salle de bain. Appelle moi si tu as besoin de quoi que ce soit. Mon dressing est juste là. Emprunte moi des vêtements si besoin. Le petit déjeuner est prêt déjà. Il n’attend que nous.

Elle ouvre la bouche pour dire quelque chose, la referme, son regard me caresse le corps, a moitié recouvert par la serviette. Jadore savoir que je lui fais de leffet. Elle eloigne le drap et se lève nue pour se rendre dans la salle de bain. Pour ne pas la mettre mal à l’aise, je fais mine de rien voir mais mon corps réagit déjà au spectacle de sa nudité. Je finis de m’habiller et traîne un peu dans la chambre pour voir si elle ne m’appelle pas à un moment pour un truc. Finalement non. Je descend donc dans la salle a manger et l’attend pendant quelle termine. Elle me rejoint 30 minutes plus tard vêtu de sa robe de la veille et l’air un peu crispée. Elle tient son sac à main et semble prête à partir. Et moi je fais semblant de ne pas le remarquer.

-          Je ne savais pas ce que tu prenais au petit déjeuner, j’ai donc fais un peu de tout. Viens voir ce qui te plaît.

Je me leve et lui tire une chaise.

-          Je crois plutôt que je vais y aller. Je n’ai pas très faim.

-          Écoute, je sais ce que tu te dis. Mais c’est juste un petit déjeuner, rien d’autre. Il nya pas d’arriéres pensées. Je n’ai rien de prévu ce matin. Si tu pars je vais me retrouver seul dans cette grande maison a m’ennuyer. Si tu n'as pas de programme non plus, tenons nous compagnie. Stp !

Elle ne dit rien mais je la vois lorgner toute la bouffe que jai disposé et avaler sa salive puis elle dépose son sac et viens sassoir. Je ne retiens pas mon sourire.

-          Qu’est ce qui te ferait plaisir ?

-          Une omelette, des saucisses et du jus d’orange. Il y a des croissants. dit elle avec des airs de petites filles gourmandes. Tu as de la confiture ?

-          Oui, au frigo. Laisse moi aller en chercher et te servir.

Les minutes qui suivent, nous nous régalons en silence. Cest un plaisir de la voir manger avec un tel appetit. Bon ! j’attaque la seconde partie de mon plan. Il nya pas que la musique qui adoucit les mœurs, la bonne bouffe également.

-          C’est aujourd’hui que commence le festival de la musique. Je prévois d’y faire un tour tout à l’heure. Et toi ?

-          Euh ! Je vais certainement rentrée. Je n’ai rien de prévu pour le moment.

-          Pourquoi tu ne viendrais pas avec moi ? On pourra se promener dans les différents stands et goûter aux spécialités culinaires des pays invités.

Hésitation encore !

-          Allez ! Ca sera sympa. J’insiste

-          Je ne peux pas y aller dans ses vêtements. Ils sont tout froissé. Il faudrait que je me change.

-          On prend nos voitures, on va chez toi, tu te changes, tu laisses ta voiture et tu montes dans la mienne comme ça tu n’auras pas à conduire et au retour je te dépose juste chez toi.

Elle me regarde en réfléchissant silencieusement à ma proposition. Je retiens mon souffle et soutiens son regard.

-          D’accord. Dit elle finalement.

-          Super.

 

Lucie

Pourquoi faut il qu’il soit aussi adorable avec moi ? Je sais que je ne dois pas l’apprécier,  que je dois garder mes distances et garder la relation sur le plan sexuel mais je le trouve vraiment irrésistible. Je maccorde cette journée avec lui et demain on verra. Surtout que je sens que mes menstrues vont arriver d’un moment à l’autre. J’ai toujours été sujette aux règles douloureuses. Je redoute cette période du mois à cause de la douleur qu’elle me fait ressentir. C’est juste affreux. Cette journée c’est la compensation que je m’offre pour ses jours de souffrance à venir. On fait comme il a dit précédemment. Il est présent sans être envahissant. Il m’ouvre les portes, laisse sa main traîné negligemment dans le bas de mon dos, meffleure le bras ou la cuisse à l’occasion comme s’il ne pouvait pas s’empêcher de me toucher. Au lieu de m’en inquiéter, j’en suis touchée. Je suis une idiote. A 11h, nous sommes sur place. Tout est magnifique. Je découvre des articles extraordinaire en visitant les différents stands. Je fais quelques achats. Il veut payer mais je refuse fermement. Il s’éloigne pour nous chercher à boire et je remarque un bracelet masculin en cuir qui lui irait bien. Sans réfléchir, je l’achète dans l’intention de le lui offrir. Ce que je fais lorsqu’il revient avec les boissons. Il me regarde comme si je venais de lui offrir une voiture ou une maison, les yeux pleins d’émotions. Je me laisse étreindre et embrassée en public avec plaisir quoi qu’un peu gênée. Il retire le bracelet en or qu’il a au poignet et le remplace par le mien. Nous continuons notre petite balade entre les stands. Nous marchions juste côte à côte mais finissons main dans la main. Je ne saurai dire qui a pris en premier la main de l’autre mais personne ne se dégage. C’est agréable. Je me sens bien et heureuse. Nous nous asseyons dans l’espace resto pour manger. Je commande une pizza et lui un poulet. Mes douleurs au bas ventre s’intensifient et jen perd l’appétit. Il faut que je rentre.

-          Tu ne manges pas ? Me demande t il

-          Je ne me sens pas très bien. Tu crois qu’on pourrait y aller ? Je vais emporter la pizza.

-          Oui, biensur. Je vais leur dire d’emballer nos commandes. Tu es sûr que tu ne veux pas que je t’emmène à l’hôpital ? Demande t il inquiet.

-          Non, ce n’est pas nécessaire. Je sais ce que j’ai. Cava passer.

Dis je sans plus. Je ne me vois pas lui expliquer que j’ai mes règles et que c’est pour cela que j’ai mal au ventre. Heureusement j’ai pris mes précautions avant de sortir. Il ne dit plus rien et nous partons après avoir pris nos commandes. Pendant le trajet la douleur devient insupportable mais j’essaie de faire bonne figure. J’ai juste hâte qu’on arrive que je puisse m’enfermer et me rouler en boule en gémissant jusqu’à ce que ça aille mieux. 15 minutes plus tard, il se gare devant ma porte. Difficilement, je me redresse pour lui dire aurevoir avant de descendre mais il éteint le moteur et sors de la voiture. Il m’ouvre lmà portière et se baisse pour m’aider à sortir de la voiture.

-          Qu’est ce que tu fais ? Je demande

-          Je t’aide à entrer. Tu es mal en point.

-          Non, ça ira…

-          Écoute, j’ai des sœurs. Je sais ce que c’est que les règles douloureuses même si je n’ai jamais vu aucune de mes sœurs souffrir autant pour ça. Tu as des cachets pour soulager la douleur ?

La il vient de m’en boucher un coin. Je le prenais pour un homme tellement superficiel que ça lui donnerait la nausée de juste entendre prononcer le mot menstrues mais enfait non. Waouh !

-          Non, je ne prend plus de cachets parce que rien ne semble pouvoir me soulager. Je suis fatiguer de bombarder mon organisme de cochonneries qui ne me soulagent même pas. Dis je avec l’amertume de la douleur.

Il ne dit plus rien. Une fois au salon, je m’allonge sur le canapé sans demander mon reste.

-          Tu peux laisser les paquets sur la table. Je m’en occuperai. Referme la porte derrière toi stp.

Il ne bouge pas d’un iota.

-          Tu seras plus confortable dans ton lit. Je vais t’aider.

Avant que je ne comprenne ce qui se passe, il me porte pour memener dans la chambre. J’ai si mal que je n’arrive même pas à protester. Il m’allonge dans mon lit, me laisse la et sort. Il est certainement parti. Après 10 minutes, je me dis qu’il doit vraiment être parti. Je me laisse aller à mes gémissements. Je retiens difficilement mes larmes. Seigneur ! Pourquoi dois je autant souffrir chaque mois ? Je suis étonnée quand je l’entend revenir mais incapable d’émettre la moindre réaction. Il a les bras chargés.

-          J’ai fais quelques recherches et appeler un ami médecin. Il m’a donné quelques conseils pour te soulager. Je vais appliquer ça sur ton ventre. C’est une bouteille d’eau chaude. Ça devrait te faire du bien.

Il soulève délicatement mon haut et baisse légèrement mon pantalon pour avoir accès au bas de mon ventre. Je me laisse faire docilement. Il applique la bouteille délicatement en me disant des mots réconfortants. Il me demande ensuite de maintenir la bouteille d’une main pendant qu’il s’éloigne encore puis revient au bout de quelques minutes .

-          Je t’ai apporté une tisane au gingembre et à la cannelle. J’ai trouvé ce qu’il fallait dans tes placards pour ça. Cava te soulager.

Il s’installe derrière moi, me redresse de sorte à ce que mon dos soit appuyer contre lui et me fait boire.

-          Prend de petites gorgées… C’est bien.

Je ne sais pas combien de temps nous restons là. Moi allongée et gémissant et lui me tenant la main, me caressant les cheveux, me disant des mots doux. Il finit par me convaincre de prendre des cachets. Ce que je fais et je suis bientôt emportée par le sommeil. A mon réveil, la douleur est toujours présente mais moins forte et Marc est toujours là lui aussi. Il s’est assoupie dans le fauteuil en face. Des que je me redresse, il ouvre les yeux.

-          Cava mieux ? Demande t il en venant sur le lit.

-          Oui, j’ai moins mal. Je dois aller dans la salle de bain. Dis je mais sans bouger.

Comment lui expliquer que mes règles sont trop abondantes et que mes vêtements et les draps sont certainement plein de sang et que je ne veux pas qu’il voit ça ?  Encore une fois, il semble avoir lu dans mes pensées.

-          Je n’ai pas peur du sang Lucie. Ca ne me dérange pas. Laisse moi t’aider à te lever. Je vais changer les draps pendant que tu prends une douche.

Je suis partagée entre la gêne et l’adoration. Mon ex mari avec qui j’ai vécu pendant de si longues années, dormait dans une autre chambre quand j’avais mes menstrues. Je n’avais pas le droit de l’approcher pendant cette période surtout que c’est une période du mois qui venait avec la confirmation que je ne portais aucune vie en moi. Je me departis de ces mauvais souvenirs et me laisse faire une nouvelle fois. Les draps et mes vêtements sont en effet plein de sang. Je me sens épuisée à force de saigner autant. J’en ai des vertiges. Il me conduit jusqu’à la salle de bain et la je refuse catégoriquement qu’il me déshabille. Il n’insiste pas et retourne dans la chambre. Je me prend une douche chaude et enfile une nouvelle protection avant de retourner dans la chambre en serviette. Les draps sales sont dans la corbeille à vêtements et des draps propres recouvre le matelas. Personne dans la chambre. J’en profite pour porter mon ensemble pyjama. Il revient quand je me glisse dans le lit.

-          Je t’ai apporté à manger. Tu perd du sang. Il faut que tu mange pour compenser.

Je mange sans discuter et bois la tisane qu’il me tend. Puis je m’allonge encore pendant qu’il fait sortir les plats. Je suis cueillis par le sommeil une nouvelle fois, à mon réveil, je suis bien enveloppé dans des bras masculins et mes fesses se pressent contre une erection monumentale. J’essaie de me redresser, perdue.

-          Ce n’est pas ce que tu crois. C’est juste une réaction que je ne peux pas contrôler quand je suis près de toi. Je sais que ce nest pas le moment. Est-ce que ça va mieux ?

Je me redresse, l’obligeant a faire autant. Je me frotte les yeux et cherche l’horloge des yeux. 8h…

-          Tu as dormi ici ?

-          Oui, je ne pouvais Pas te laisser seule.

J’ai envi de lui répondre que je traverse ça seule depuis des années mais la vérité est que j’ai adoré être chouchoutée comme un bébé.

-          Je me sens beaucoup mieux. La douleur a presque disparue. Merci pour…

-          Stp ! Ne me remercie pas pour quelque chose que j’ai fais par plaisir pour une personne qui compte pour moi. J’ai trouvé du poisson dans ton congélateur et j’ai fais un bouillon pour ton déjeuner hier soir. Je l’ai mis au frais. Je vais prendre une douche si tu me le permets. Je dois retrouver les gars à la salle de sport tout à l’heure.

-          Oui bien sur.

-          Tu es sur que je peux y aller ?

-          Oui t’inquiètes.

-          D’accord

Il entre habillé dans la salle de bain, en sort habillé mais mouillé, se chausse, prend ses clés et reviens s’assoir sur le lit, les yeux dans les miens.

-          Tu m’appelles si ta besoin de quoi que ce soit. D’accord ?

-          Oui.

Il se penche et me dépose un baiser sur le front avant de s’en aller. La dimension que cette relation a prise entre vendredi soir et aujourd’hui dimanche,  me depasse. Je sens clairement que quelque chose a changé et je sais ce que c’est. Les sentiments sont entrain de s’en mêler. Je m’étais jurée que je ne laisserai pas ça arriver mais qui peut résister à un homme pareil ? Même dans mes rêves les plus romantiques, je n’ai jamais seulement pensé qu’on homme puisse faire ça pour une femme, qui n’est pas sa femme qui plus est. Je veux me recoucher pour continuer à réfléchir mais mon ventre me rappelle à l’ordre. J’ai faim. Je me rend à la salle de bain, ou je me brosse les dents et prend une douche chaude encore. Je m’habille et je descend à la cuisine avec l’intention de me faire des œufs à manger et je découvre un paquet sur la table avec l’emballage de la pâtisserie du coin. J’ouvre et il ya des croissants encore chauds. Mon petit cœur fond définitivement face à cette ultime attention. Je retourne chercher mon téléphone et lance un appel whatsapp dans le groupe que j’ai avec les filles. Il y a urgence. Mon cœur est entrain de m’être dérobé. 

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