ÉPILOGUE 2

Write by L'UNIVERS DE JOLA

***ÉPILOGUE PARTIE2***


**JENNIFER AGONDJOU ÉPOUSE EBOUMA**


Je suis en train de partir à l'école de Derrick pour le récupérer avant de passer à la société de Paul pour prendre Sasha qui s'y arrête tous les jours après ses cours vu que son collège est à moins de 5 minutes de là où il travaille, donc ils viennent ensemble le matin, à midi elle s'y arrête et ils rentrent ensemble quand il sort tôt, sinon, je passe la récupérer comme aujourd'hui pour les jours où il va rentrer tard. J'arrive, je salue certains de ses collègues et je me rends dans son bureau où je le trouve en train de parler avec Alvin. Je le salue et vais embrasser mon mari.


Alvin : Mme Ebouma toujours rayonnante.


Moi: Il faut bien, quand tu es bien traitée, tu rayonnes.


Alvine : Ce n'est pas faux. Un jour je serai comme vous.


Moi: Si tu arrêtes de faire tourner la pauvre fille pour rien et décide de l'épouser, ça va te faire quoi?


Alvine : (Souriant) Je prends l'élan.


Moi: EBOUMA parle à tes frères pardon, Arsène et lui je ne comprends pas ce qui leur arrive. Je crois qu'ils ont besoin de délivrance.


Ils se sont mis à rire.


Alvine : C'est ta sœur qui a brisé le cœur de mon frère en allant épouser un autre, lui il était prêt pour elle depuis des années mais elle l'a feinté pour aller épouser monsieur la personnalité.


Nous avons éclaté de rire. Les gars là ont décidé d'appeler Benjamin NGUEMA depuis deux ou trois ans à cause de l'effet qu'il fait aux gens, on ne sait pas ce qui s'est passé avec lui mais dernièrement, il a commencé à développer la mère aura que Lili, mais lui était un homme, c'est beaucoup plus imposant même que ce qu'elle dégageait. Quand tu es à côté de lui, tu ressens l'effet grisant que l'on a lorsqu'on est en face d'un président ou une star de renommée internationale. Du coup un jour, les gars avaient sorti ça comme ça alors qu'ils étaient tous à la maison pour un barbecue. Quand Benjamin était arrivé avec sa famille, les gars avaient tous crié d'un commun accord.


Eux: La personnalité vient de faire son entrée dans la place.


Linda: C'est qui la personnalité ?


Eux: C'est ton mari, tu n'as pas vu ça ?


Ils ont cherché à comprendre les explications farfelues qu'ils avaient donné et avaient fini par garder cette histoire de monsieur la personnalité là. 


Moi: Vous êtes terribles. Mais en même temps ma sœur c'est une personnalité, c'est normal qu'elle en épouse une autre ou bien ?


Alvine : Parlez-nous fort oh, mon et moi on est qui?


Nous avons encore ri.


Alvine: En parlant d'Arsène, je vous dis que Samedi on a vécu une scène terrible au Tropicana.


Paul: Il s'est passé quoi?


Alvine: Le gars a aperçu une fille avec laquelle il avait couché une fois il y a 5 ou 6 ans en arrière après m'avoir abandonné au club avec Terrence. Figurez-vous qu'il s'est rapproché d'elle pour voir si c'était vraiment elle ou non, mais non seulement c'était la go en question mais vous ne pouvez pas imaginer la chose.


Nous : Quoi?


Alvine: La meuf a deux petits garçons que quand toi-même tu regardes tu tiques direct , sans qu'on ne te dise quoi que ce soit tu confirmes que le frangin a aligné les spermatozoïdes.


Moi: (Choquée) Ne me dis pas que c'était ses enfants.


Alvine: Ah. Maman c'est ça, tu comprends que le gars est papa de jumeaux de 5 ou 6 ans, vrai vrai.


Moi: Donc il avait couché avec une inconnue sans se protéger ?


Alvine : Comme tu entends chérie.


Moi: (Choquée) Mais Mfoula est malade ma parole, il n'a pas pitié pour sa vie ? Maintenant si elle lui refilait une maladie ? Et c'est jusqu'à il fait l'enfant hein.


Alvine : Mais vous ne connaissez pas la meilleure. 


Paul: parce qu'il y a pire que ça ?


Alvine: Ah. La fille je t'assure que tu confirmes que c'est le fantôme.


Moi: Comment ça ? Elle est Vilaine ?


Alvine: Non, c'est un beau petit morceau au calme. Mais le comportement, c'est direct le fantôme. La go te l'a ramassé de la tête au pied, direct tu rembourses mon argent que j'ai dépensé sur tes têtards.


Paul et moi avons éclaté de rire, dépassés par la situation. Il nous a raconté une histoire rocambolesque digne de je ne sais quel film. Nous avons ri jusqu'à pleurer.


Moi: (Essuyant mes larmes) C'est bien fait pour lui, quand on vous dit de rester tranquille vous n'aimez pas. C'est pour aller tomber sur des folles comme ça. C'est ce que vous voulez.


Alvine: Non, la go là c'est un fantôme Jen je t'assure. De toute ma vie, c'est la première fois que j'ai vu ça. J'étais choquée. Et quand elle parle comme ça, les enfants sont là debout, ils la regardent hein. Non, là le gars a chaud, ça c'est pas une petite affaire qu'il est parti soulevée là, c'est fort.


Nous avons encore un peu parlé et j'ai pris mes enfants pour rentrer à la maison. Nous sommes allés nous changer avant que je n'aille m'occuper du repas. Depuis mon mariage, il ne s'est pas passé grand chose, je suis tombée enceinte quelques mois avant le mariage de Lili et j'ai accouché d'un petit garçon un peu plus tard, Derrick, 5 ans aujourd'hui qui est un parfait mélange de son père et moi comme sa sœur. Nous n'avons pas eu d'autres enfants plus par choix qu'autre chose, on a les deux sexes, c'est bon chacun son compte. En tout cas, nous allons bien, mon mariage va bien, on a des prises de tête de temps en temps comme tout le monde mais on se couche après les avoir réglé comme le dit la parole. 


Br, br, br message.


Je regarde et c'est Lili. 


-Linda : Bonsoir mon cœur, Kelly vient d'accoucher. Nous sommes en route pour l'hôpital.


Je lance l'appel sur son numéro et elle décroche.


<<Linda: (Décrochant) Allô ?>>


<<Moi: Je viens de voir ton message mon cœur.>>


<<Linda: Oui. Maman a mis le message dans le groupe, il y a quelques minutes et nous sommes en route pour là-bas.>>


<<Moi: D'accord. Je suis actuellement en train de préparer, dès que je termine, je viendrai.>>


<<Linda: D'accord, tu vas me trouver sur place.>>


<<Moi: Ok, bon à tout à l'heure. Je t'aime>>


<<Linda: Moi aussi. À toute. >>

Clic. 


J'ai continué ma cuisson avant d'aller m'apprêter ainsi que les enfants et nous nous sommes rendus à l'hôpital pour voir la nouvelle maman. J'ai fait un message à Paul pour le lui dire. Il m'a répondu qu'il passerait par là-bas après le boulot et qu'on allait rentrer ensemble à la maison…


**LINDA NDOMBI ÉPOUSE NGUEMA**


Benjamin et moi sommes en route pour l'hôpital avec les enfants, sa mère nous a dit dans le groupe que Kelly a accouché cet après midi. Nous arrivons et nous descendons du véhicule, j'ouvre derrière et et les D descendent, ils ont 13 ans maintenant et sont grands de tailles, même si Raph qui descend à leur suite, 11 ans les dépassent légèrement, c'est notre basketteur, dans quelques 3 ou 4 ans, ils vont me dépasser la taille pour les garçons et D et moi aurions la même taille. Cette dernière d'ailleurs niveau morphologique me ressemblent de plus en plus, je vois souvent aux regards de certaines personnes qui connaissent que "je ne suis pas leur vrai mère" qu'il y a un trouble qui se passent en eux et ils sont en train de se demander pourquoi plus cette enfant grandit, plus elle me ressemble au lieu de ressembler à Joliane. Mais ils n'osent pas parler ouvertement de peur de me blesser ou créer une division. Mais moi ça me fait souvent sourire et je ne dis rien. Celle qui avait abordé la question avec moi c'était maman un jour alors que les enfants avaient passé le week-end chez eux et que j'étais allée les récupérer.


Maman : Ton père et moi sommes très confus Linda.


Moi: Comment ça ?


Maman : À cause des enfants ?


Moi: (Fronçant les sourcils) Ils ont fait quoi ?


Maman : Ils te ressemblent beaucoup.


Moi: Je ne comprends pas.


Maman : Attends tu vas voir.


Elle s'était levée et était allée prendre des photos, 6 au total qu'elle était venue déposer devant moi. Dans les deux premières, c'était une photo de moi, à 12 ans dans le bureau de mon père entrain de manipuler les ordinateurs, j'avais une posture et une expression faciale assez particulière, une la deuxième une photo de Darnell à 11 ans au même endroit avec les mêmes caractéristiques, les deux autres photos mises l'une à côté de l'autre était celle de Raphaël et moi, assis sur une table, une assiette devant nous à 9 ans, on faisait les mêmes choses. Les dernières photos opposaient Daphnée et moi. C'était le weekend en question et maman avait fait exprès de l'habiller comme un petit garçon, avec les mêmes vêtements que j'avais sur la photo, elle lui avait également fait la même coiffure avant de la filmer dans la même position. Si on faisait abstraction des traits de Benjamin qui étaient un peu visibles sur son visage, c'était quasiment la même personne sur les photos.


Maman : Tu trouves normal que ces enfants te ressemblent de la sorte?


Moi: Maman, que veux-tu que je te dise?


Maman : Rien, je trouve juste que c'est très étrange. À chaque fois, cela nous trouble beaucoup.


Moi: Maman, arrêtez d'être troublé inutilement, ce sont mes enfants et c'est tout. Pourquoi ils me ressemblent autant, Ce n'est pas important.


Maman : Tu as raison.


On n'avait laissé le sujet ainsi et les gens nous regardent seulement avec insistance. 


Moi: (À Daphnée) Ma puce prend mon sac et donne les ballons à tes frères.


Elle s'est exécutée et comme j'étais libre j'ai pris Best, notre garçon de deux ans que j'ai passé à son père ainsi que First, sa jumelle.  J'ai ensuite fermé la portière et Béni a verrouillé la voiture, nous sommes rentrés dans la clinique et comme partout où on va, les gens nous regardaient étrangement. Avec le temps on a fini par ne plus trop prêté attention mais nous avons simplement décidé de ne plus aller dans les endroits populaires, pire encore quand Béni et moi sommes ensemble et allons au même endroit, c'est vraiment fort ce que nous dégageons. Au point où les autres se sont mis à nous appeler les personnalités, nom principalement attribué à Béni. Ces dernières années plusieurs choses se sont passées, premièrement, sur le plan professionnel, nos entreprises se sont énormément développées et implantées ailleurs, naturellement nous avons mutuellement signé des partenariats d'interconnexion de sorte que ma société ne travaille qu'avec des appareils qui viennent de chez lui et la mienne s'occupe de son système informatique partout où il est implanté. Aujourd'hui nous pesons lourd au point d'avoir reçu l'invitation du COGE en tant que Sylver  , il y a deux ans. Nous étions naturellement allés ensemble et avions reçu un billet qui portait nos deux noms en tant que Sylver. Nous avions bien sûr revu certains visages qui étaient là à la cérémonie précédente mais d'autres non. Il y avait aussi de nouveaux visages. La plupart des gens qui étaient là étaient présents à notre mariage donc c'est un peu la famille maintenant. Nous y avions revu Ali Jr avec sa fiancée. Il s'était approché de nous et nous avait présenté ses excuses pour ce qu'il m'avait fait autrefois. Nous avions été surpris du fait qu'il marchait déjà avec une canne car il boitait un peu. À la question de savoir ce qui s'était passé, il était resté évasif sur le sujet. L'affaire était restée comme ça.


Pour ce qui est des enfants, nous avons continué à les pousser selon leur potentiel, ils suivent un cursus classique mais en parallèle ils suivent des formations dans leurs domaines respectifs. Nous faisons des voyages chaque vacances pour aller faire des immersion dans des milieux qui mettent en exergue leurs atouts afin de les stimuler avec des enfants de leur niveau. Nous avons eu deux autres enfants deux ans après notre mariage et l'idée m'est venue de savoir ce qu'étaient devenus mes ovocytes vitrifiés. Nous étions allés en Espagne pour ça et avons appris qu'ils étaient au même endroit, en dehors des deux que j'avais fait des dons les autres étaient là. J'étais choquée lorsque j'avais vu mon nom et ma signature apposés sur un document attestant du don des deux ovocytes que je faisais au couple NGUEMA. J'avais alors confirmé sur la grandeur et l'invraisemblable que caractérisaient le Dieu que nous servions. Quand il avait un plan, il ne faisait pas les choses à moitié. C'était d'ailleurs à notre retour d'Espagne que j'avais appris pour la grossesse. La réaction de Benjamin à l'annonce de ma grossesse était mitigée. D'un côté, il était content mais d'un autre il était effrayé. Le pauvre, il n'avait pas eu de très bonnes expériences de grossesse. La première avait été pénible, la deuxième avait emporté sa femme, la troisième avait été une fausse couche et l'enfant en était mort. Il était terrifié à l'idée de vivre encore une situation bizarre et était constamment sur mon dos à l'affût du moindre petit souci. J'avais beau lui dire que j'allais bien mais il ne m'écoutait pas et était constamment en alerte. Nous avons littéralement porté cette grossesse ensemble car il était mon ombre jusqu'à ce que j'accouche. Tout le processus avait été sans problème mais il ne voulait plus d'enfants, cinq étaient suffisant pour lui. On avait ouvert avec des jumeaux mixtes et fermé avec eux, c'était bon. Le fait un peu bizarre c'est que les derniers sont nés le même jour que Raphaël, le 8 janvier et chaque année à cette date depuis la première fois que je l'avais fait, nous organisons une grande fête car c'est un grand jour de joie.


Pour ce qui est de notre relation avec le Seigneur, nous avons tous les deux grandis dans nos relations avec le Seigneur et notre couple aussi. Le fait d'avoir cette relation étroite, nous a préservé de beaucoup de soucis dans notre mariage. En cas de désaccord sur un point, on demandait au Seigneur de nous aider par la conviction de son esprit ou simplement par une parole biblique. Nous avions aussi su que nous n'étions pas appelé à servir Dieu avec un titre ministériel. Béni est toujours intercesseur et est même responsable adjoint et moi je suis à la régie, cela ne nous empêche pas de servir Dieu en tant qu'enfant de Dieu, nous évangélisation de vive voix ou par des dons matériels et financiers, nous prions et jeûnons pour les gens et la puissance de Dieu se manifeste afin de sauver les âmes. Nous rendons grâce à Dieu pour ça. Tous nos proches ainsi que nos enfants ont donné leur vie à Jésus et c'est l'essentiel.


Pour ce qui est de notre couple, nous continuons tous les jours à nous découvrir et à chaque fois j'en tombe un peu plus amoureuse de mon Béni qui est vraiment l'homme parfait pour moi.


Nous : On peut rentrer ?


Karl : Oui.


Nous : (L'embrassant) Félicitations papa.


Karl : (Souriant) Merci.


Nous avons salué les parents de Benjamin et ceux de Karl, félicitons Kelly avant de nous diriger vers le bébé Kyriel, oui, nous connaissions d'avance son prénom. Il était tout beau dans les bras de son grand-père maternel.


First : papi donne à First yo bébé.


Tendresse : Non First, tu peux yo souyever encore, t'as pas ya force. 


Best: Si First est forte cone* maman.


Tendresse : Tengresse a dit non, First ne yo souyev pas.


Les deux : (Boudant) Tengresse est crop mauvaise.


Nous étions en train de les écouter en riant. Les trois enfants là quand ils commencent leurs choses, il ne faut pas mettre ta bouche à l'intérieur sinon tu ne vas pas t'en sortir. Les autres sont venus nous trouver et nous avons envahi la chambre d'hôpital tellement nous étions nombreux. Paul fut le dernier à nous rejoindre et au bout de 3 heures nous sommes tous rentrés chez nous. Elle a passé deux jours à l'hôpital avant de partir chez elle…


Benjamin : Tu vas aller déposer les enfants à quelle heure ?


Moi: Tout à l'heure, c'est comment tu me presses comme ça ?


Benjamin : Je voulais juste savoir.


Moi: Hum.


Ce week-end, nous avons décidé de laisser les enfants avec mes parents, c'était une idée de Béni. Il m'a dit qu'il voulait avoir une discussion importante avec moi mais n'a rien voulu me dire sur le sujet. J'ai fini par prendre les enfants qui lui ont dit aurevoir pour partir chez mes parents. J'ai discuté avec eux pendant un moment jusqu'à je me suis même allongée sur les cuisses de mon père sous les rires des enfants.


Raphaël : Non maman, tu exagères toujours. Même une vieille comme toi, tu es toujours là pour fatiguer papi.


Papa : Dis lui bien ça.


Moi: Vous n'allez jamais me décourager.


Nous avons tous ri.


Darnell : H, le bureau est ouvert ?


Papa : Oui D.


Darnell : D'accord (Se levant) Bon, je vous laisse. Maman soit prudente au volant et surtout aucun écart de conduite.


Moi: (Amusée) Oui chef. 


Darnell : Ok. Mon amour pour toi n'a nul besoin d'être exprimé par des mots , il s'exclame de lui-même par l'attention qu'il te porte.


Daphnée : Tout ça pour dire " je t'aime"?


Darnell : (L'ignorant) Reçois alors cela par ce tendre baiser que je t'envoie par les airs.


Moi: Je le reçois mon amour. Je t'aime aussi. 


Il a disparu dans le bureau de son grand-père.


Daphnée : Il faut sortir l'esprit de Louis 14 dans le corps de l'enfant là oh.


Nous avons éclaté de rire. Je leur ai fait des câlins à tous avant de partir à la maison où je me stressais en me demandant quel pouvait bien être l'objet de la discussion de ce soir. Je suis arrivée à la maison et elle était silencieuse. Je suis descendue du véhicule et le gardien m'a donné un mot de Béni.


"Vas prendre une douche stp et viens me rejoindre près de la piscine B.N"


C'est quoi tout ça ? Je me suis exécutée et je me suis rendue dans la salle de bain. À mon retour , une nuisette et un masque en forme de chat étaient posés sur le lit. Je me suis mise à sourire avant de les enfiler. Je suis descendue à la hâte et j'ai constaté que les lumières étaient éteintes mais plusieurs bougies étaient allumées et formaient une haie des escaliers jusqu'à la piscine, sur tout le chemin il y avait des pétales de roses rouges. Je suis arrivée là-bas et mon Béni se tenait au milieu d'un cœur de bougies, avec deux verres de champagnes à la main et une tige de rose à la bouche. "Avant toi" passait en boucle dans l'appareil. Il me fixait de son regard intense au fur et à mesure que je me rapprochais de lui. À son niveau, je lui ai pris la rose de la bouche et il s'est mis à me sourire.


Benjamin : (Souriant) Bonsoir Lin


Moi: (Répondant à son sourire) Bonsoir Béni.


Benjamin : Me permets-tu de t'aimer ce soir comme au premier jour ?


Moi: Non Béni, je veux que tu m'aimes comme aujourd'hui, parce que chaque jour à tes côtés est un jour spécial et il ne ressemble à aucun autre, alors aime moi comme aujourd'hui.


Benjamin : (Me donnant un verre que je prends) À ce jour unique qui ne ressemblera à aucun autre.


Moi: À ce jour unique qui ne ressemblera à aucun autre.


Nous avons trinqué et avons bu en nous regardant dans les yeux. Il a ensuite pris les deux verres et les a déposés sur la table à côté où était posée la bouteille. Il est revenu vers moi et a pris une de mes mains pour m'attirer à lui. Il s'est mis à me caresser le visage avant de me faire des petits baisers sur l'épaule jusqu'à mon oreille droite qui me faisaient frissonner.


Benjamin : (À mon oreille) Ma petite chatte (Bisous) mon fin lin blanc ( Mordillant mon oreille) ma reine.


Il est venu m'embrasser sur la bouche avec une délicieuse délicatesse. J'ai passé mes mains autour de son cou et il a approfondi le baiser devenant de plus exigeant et faisant grimper la température. Il a fini par poser ses mains sur mes fesses pour les empoigner. J'ai légèrement gémi entre ses lèvres. Ses mains se faisaient de plus en plus baladeuses sur moi jusqu'à s'insinuer dans mon slip déjà trempé. Il m'a soulevé du sol avant de me faire coucher sur la moquette qui était présente sur le sol et faisait office de lit. Il a retiré mon string avant de passer sa main sur mon sexe et y insérer un doigt qui y est entré sans problème. Il l'a retiré et a ôté son caleçon avant de se mettre entre mes jambes puis s'y insérer lentement.


Moi: (Remplie) Ohn Béni.


Benjamin : Oui ma reine.


Moi: Aime moi.


Benjamin : C'est mon intention pour tout ce weekend, je vais t'aimer comme si ce jour était le dernier…..


***THE END.***


MERCI DE M'AVOIR LU. VOTRE CHRONIQUEUSE JOLA POUR VOUS SERVIR. LA BISE !

MÈRE MALGRÉ MOI