Tension sexuelle

Ecrit par Saria

***Nimata***


J’avais mis en suspend l'installation de mon atelier, pour le moment je n'avais pas grand-chose à faire à part mes croquis. Faire les repas pour Dylan, m'occuper de son linge et autres la femme de ménage venait une fois par semaine.


Cet après-midi, j’étais seule dans la maison alors j’ai décidé de faire du nettoyage. J’ai revêtu un shorty en coton de couleur rouge, un débardeur orange. Mon casque vissé sur mes oreilles je mets en boucle la version kizomba de Parijs*. Eh oui j’ai appris à Cotonou à mon retour du Maroc dans un club ! C’est une danse d’une incroyable sensualité ! Mon cavalier est mon balai à manche.Ne riez pas!


***Dylan***


Je suis rentré plus tôt ayant décidé de travailler de la maison, je sais que Nima se sens seule, malgré les instructions que j’ai donné à Sambo de ne pas mentionner sa présence et de me tenir informer du moindre mouvement je ne suis pas vraiment tranquille.


Peut-être que j’aurais mieux fait de rester là où j’étais en sécurité dans mon bureau à la banque... Parce que la scène que j’ai sous mes yeux est…hum…enfin parle directement à mon entrejambe. Je vous explique, vu l'heure je me dis que mon "invitée" devait être entrain de faire la sieste. Je me dirige directement vers mon bureau et quand j'ouvre la porte je tombe sur une Nima qui se déhanche de façon langoureuse.


Elle faisait des mouvements sensuels, apparemment c’est de la danse. Elle avait un micro-short qui laissait voir le bas de ses fesses, son débardeur  montrait des signes de transpirations dans le dos, casque sur les oreilles, la tête rejetée en arrière, les lèvres légèrement entrouvertes. Ses hanches là à l’instant faisait un mouvement de va et vient.


Comme si elle a sentit ma présence, elle ouvre les yeux et tourne la tête vers moi, lequel de nous deux fit le premier pas je n’en sais rien. On se saute dessus, je dévorais sa bouche de baisers. Nous nous déshabillons mutuellement avec des gestes fébriles. Elle n’avait plus que son short quand je la soulève pour la poser sur le bureau, elle défait ma ceinture et ouvre ma braguette. Gosh j’étais dur à en avoir mal !


Des deux mains, je soupèse ces seins et les pressent, elle gémit. Je baisse ma bouche et happe un téton, pinçant l’autre. Elle m’enfonce ses ongles dans les épaules. Je l’aide à s’allonger sur ma table de travail, le short va rejoindre le reste des vêtements. A partir de ce moment mes gestes sont lents et doux, je ne veux pas l’effrayer encore moins la brusquer ! Je lui caresse le ventre et ma main descend plus bas. JE cherche son assentiment des yeux, elle hoche la tête alors j’introduis mon index et mon pouce en elle.


Elle mouillait abondamment, je fais des mouvements circulaires et elle se tortille en gémissant, je lui mordille un téton. Elle se crispe et perd pied, la jouissance la gagne. Au moment où je me redressais, elle me retient. J’ai le temps de prendre une capote et de l’enfiler, je positionne son bassin en bordure du meuble, ses jambes sur mes épaules et la pénètre d’un coup sec. A chaque coup de boutoirs c’était gémissements et soupirs. C’était galvanisant, nous atteignons ensemble les sommets.


Nous reposons dans le canapé qui se trouvait dans la pièce qui vient d’être témoin de nos ébats. Elle s’était pelotonnée contre mon torse. Ses doigts ont commencé à avancer d’abord timidement, puis avec plus d’assurance vers mon membre. Rapide, je l’en empêche, elle lève des yeux surpris vers moi.


Moi (gêné) : Nima s’il te plaît…Je…ce n’est pas une bonne idée !

Nimata : Tu n’en as pas envie ?

Moi : Non…euh si…Écoutes je ne veux pas te blesser…mais je n’ai rien à t’offrir…Il y a une femme dans ma vie

Nimata : Je sais…Je m’en doute même si je ne vois aucune trace d’elle dans cette maison

Moi : …

Nimata : Ce que je te demande ou ce que je veux t’offrir est sans engagement. Je ne te demanderai rien…Jamais !

Moi : Sans engagement ?

Nimata (sûre d’elle) : Sans engagement, je voudrais juste qu’on prenne du bon temps comme deux adultes qui veulent la même chose ! Ok ?

Moi : Ok !


Alors, elle rapporte une autre protection qu’elle m’aide à enfiler. Lorsque nous y arrivons, je bandais déjà comme un malade, elle se met à califourchon sur moi et s’empale lentement sur mon sexe dur, chaque centimètre carré, chaque parcelle de peau est sollicitée. Les gars, la sensation est juste ouf de chez ouf ! Je pose mes deux mains sur ses fesses pour imprimer le rythme. Les choses montent très très vite.


C’est ainsi que nous passons, la soirée à nous aimer, à nous explorer et à essayer des trucs funs. C’était comme si nous avons d’un accord tacite décider de rattraper tout le temps perdu. J’étais bien, on était bien !


Les jours qui ont suivi étaient extraordinaires. Nous dormons ensemble, nous mangeons ensemble, nous nous lavons ensemble ce qui se termine comme vous savez. Grâce me taquinait sur ma bonne humeur constante !


Les fois où j’avais Dany au téléphone j’évite que ce soit en présence de Nima. Les quelques rares fois où s’est arrivé, cette dernière s’éclipsait discrètement. J’avoue que ça me soulage énormément.

 

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